A Paris, Naoufel tombe amoureux de Gabrielle. Un peu plus loin dans la ville, une main coupée s’échappe d’un labo, bien décidée à retrouver son corps. S’engage alors une cavale vertigineuse à travers la ville, semée d’embûches et des souvenirs de sa vie jusqu’au terrible accident. Naoufel, la main et Gabrielle, tous trois retrouveront, d’une façon poétique et inattendue, le fil de leur histoire... J’ai perdu mon corps nous tient en haleine, jusqu’au bout, nous faisant naviguer de l’action au sensoriel, du thriller au film d’épouvante. Un coup de coeur des rencontres… Après la réalisation de courts métrages remarqués, Jérémy Clapin, 45 ans, s’est lancé dans la grande aventure du long métrage sur une idée de son producteur : adapter le roman de Guillaume Laurant, Happy Hand, l’histoire d’une main qui part à la recherche de son corps.